Chanson Les enfants oubliés
Les origines de la comptine Les enfants oubliés
Les enfants oubliés traînent dans les rues
Sans but et sans hasard
Ils ont froids, ils ont faim
Ils sont presque nus
Et leurs yeux sont remplis de brouillard.
Comme une volée de pauvres moineaux
Ils ont pour rêver le bord des ruisseaux
Recroquevillés sous le vent d’hiver
Dans leur pull over de laine mitée
Les enfants oubliés traînent dans les rues
Sans but et au hasard
Ils ont froid, ils ont faim
Ils sont presque nus
Et leurs yeux sont remplis de brouillard.
Les enfants oubliés n’ont pour seuls parents
Que les bruits des grands boul’vards
Dans le creux de leurs mains
Ils tendent aux passants
Des objets dérobés aux bazars
Ils ont pour s’aimer d’un naïf amour
La fragilité des mots de velours
Ils ont pour palais tout un univers
Dans les courants d’air des vastes cités
Les enfants oubliés traînent dans les rues
Tout comme des petits vieux
Ils sont presque nus
Mais ce sont les enfants du bon Dieu...
Sans but et sans hasard
Ils ont froids, ils ont faim
Ils sont presque nus
Et leurs yeux sont remplis de brouillard.
Comme une volée de pauvres moineaux
Ils ont pour rêver le bord des ruisseaux
Recroquevillés sous le vent d’hiver
Dans leur pull over de laine mitée
Les enfants oubliés traînent dans les rues
Sans but et au hasard
Ils ont froid, ils ont faim
Ils sont presque nus
Et leurs yeux sont remplis de brouillard.
Les enfants oubliés n’ont pour seuls parents
Que les bruits des grands boul’vards
Dans le creux de leurs mains
Ils tendent aux passants
Des objets dérobés aux bazars
Ils ont pour s’aimer d’un naïf amour
La fragilité des mots de velours
Ils ont pour palais tout un univers
Dans les courants d’air des vastes cités
Les enfants oubliés traînent dans les rues
Tout comme des petits vieux
Ils sont presque nus
Mais ce sont les enfants du bon Dieu...